Bruno Rousseau, qui anime la formation « Une écogestalt au service du vivant, soutenir l’éco-anxiété » s’exprime suite à la session du juin 2025 avec notre promotion G29 :
« Nous avons partagé de beaux moments à l’occasion du dernier stage dédié à ce sujet et au cours duquel nous avons exploré notre éco-lucidité dans un monde en transformation.
Si l’éco-anxiété n’est pas une maladie mentale, 420 000 personnes « seraient en risque psychopathologique », selon l’Ademe (rapport d’avril 2025), car elles pourraient tomber en dépression ou souffrir de troubles anxieux, du fait de leur angoisse.
L’écogestalt nous invite à créer une alliance entre l’écologie profonde & l’écopsychologie et la gestalt dans un monde où il devient de plus en plus évident que la santé des personnes et la santé de la Terre sont inséparables.
Comment soutenir les nouveaux vécus des personnes qui viennent en thérapie (éco-anxiété, solastalgie…) ? Comment accompagner nos clients par des séances itinérantes au contact de la « nature » ? Quelle posture adopter face à une situation où les dimensions psychologiques, écologiques, économiques, sociales, politiques… sont entremêlées ? »
Également, un mot de Lise Torquet, stagiaire de la promotion G29 :
« Ce module est pour moi essentiel pour élargir la Gestalt à la prise en compte de notre relation au vivant dans son ensemble, sans la limiter aux relations interhumaines. En effet, la Gestalt utilise comme concept central la relation d’interdépendance organisme/environnement et il est temps de considérer le terme « environnement » au sens large.
Sur le plan pratique, c’est toujours une grande joie pour moi d’être à Triel-sur-Seine pour le cadre verdoyant en bords de Seine, et ce module le met particulièrement à l’honneur avec une majeure partie des expérimentations et des practicums en extérieur, ce qui a ouvert de nouvelles perspectives pour ma future pratique. »
